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La météo bdls23
Le temps restera sec en juillet et début août, mais à partir de mi-août la météo s’est dégradée en Picardie et en Artois, au point d’être un facteur essentiel lors du déclenchement des offensives. Des pluies quasiment continues ont transformé le terrain bouleversé par les obus en lacs de boue et les tranchées en canaux dans lesquels les hommes ne pouvaient plus combattre. L’évacuation des blessés devient difficile et la logistique ne suit plus. Les chariots et les voitures s’embourbent ; seuls les petits trains sur les voies de 60 peuvent encore circuler.

À partir de la mi-octobre le temps devient carrément épouvantable ; le sol n’est plus qu’un immense bourbier dans lequel tout disparaît. La neige, apparue très tôt cet hiver-là, commence à tomber le 18 novembre, et à partir de cette date les opérations ne pourront plus se dérouler normalement.





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